Wednesday, March 7, 2012


Le Pm Demande Des Explications

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March 7, 2012
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Le Pm demande des explications
Lions indomptables. Le chef du gouvernement a saisi le ministre des Sports, la semaine dernière, afin de s’enquérir de la situation de Denis Lavagne, l’entraîneur de l’équipe nationale de football sans contrat.
Le Premier ministre n’est pas content de la gestion actuelle de l’encadrement technique des Lions indomptables.
Le gouvernement est tellement préoccupé par cette question que Philemon Yang a saisi, par correspondance, la semaine dernière, Adoum Garoua, le ministre des Sports. Selon une source dans les services du Premier ministre, « Philemon Yang veut voir clair sur la question du contrat de Denis Lavagne [l’entraîneur des Lions indomptables] ».
Sans contrat avec l’Etat camerounais, comme nous l’a confirmé, hier, Oumarou Tado, le directeur des Affaires générales du ministère des Sports, Denis Lavagne est, depuis août 2011, le sélectionneur de l’équipe nationale de football. Après la victoire contre la Guinée Bissau le 29 février dernier, le technicien français a même perçu la prime de match, qui s’élevait, selon une autre source à la direction administrative des équipes nationales de football, à 8. 000. 000 de FCfa.
« C’est la Fécafoot qui peut facilement vous donner des indications pour ce qui est du contrat de Lavagne, car c’est elle qui recrute les entraîneurs », a précisé, hier au téléphone, Oumarou Tado. Et c’est à cette même Fédération camerounaise de football (Fécafoot) qu’Adoum Garoua s’est référé pour trouver des explications à la correspondance du Pm. L’autre préoccupation de Philemon Yang est de comprendre pourquoi c’est Denis Lavagne, l’ancien entraîneur du club amateur Coton sport de Garoua, qui a été choisi pour diriger une équipe des Lions mal en point depuis 2010. Or, la nomination du nouveau sélectionneur, soumise à l’appréciation du Premier ministère, nécessite une étude minutieuse, dans la mesure où c’est le Pm qui doit y consacrer un budget spécial. Selon des indiscrétions, « Adoum Garoua a répondu en faisant savoir au Pm que c’est la Fécafoot qui a recruté l’entraîneur et il revenait à l’ancien ministre de le nommer ». Mais, Michel Zoah, l’ancien ministre des Sports, a été remplacé en décembre 2011, alors que le contrat de Lavagne était en cours de finalisation.
Mensonge
Cette affaire du contrat dément Denis Lavagne. « Nos contrats ont été signés, il n’y a aucun problème là-dessus, c’est vrai qu’il y a eu un peu de retard, parce que le ministre a été remplacé, mais aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre », avait-il fait savoir le 16 février dernier, au cours d’une conférence de presse en compagnie de Tombi A Roko, le secrétaire général de la Fécafoot.
Reste à savoir pourquoi la Fécafoot lui a fait faire de telles déclarations.

CAMEROUN::SOCIETE 

CAMEROUN, AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE: LES CONSEILS DÉNONCENT DES CONTRADICTIONS DANS LA DÉCISION DU JUGE

PEK:Camer.beIls estiment que les bases juridiques sur lesquelles repose la condamnation à vie de l'ancien maire de Njompe-Penja n'ont rien à voir avec les faits évoqués.Le 29 février dernier, le Tribunal de grande instance (TGI) du Moungo a condamné Paul Eric Kingué à la réclusion à perpétuité. Pour arriver à le condamner, Michel Ntyame Ntyame, le président de la collégialité et président du tribunal a évoqué le décret n°77/91 du 25 mars 1977 déterminant les pouvoirs de tutelle sur les communes et que l'ancien maire aurait violés. Seulement, ce décret que le juge évoque et qui figure sur la grosse dont copie a été rendue aux avocats de Paul Eric Kingue, est abrogé. En effet, la loi dont découle ce décret n'existe plus ; à savoir la Loi n°074/23 du 5 décembre 1974 portant organisation communale.
Si l'on s'en tient aux explications fournies par les conseils de M. Kingue, la loi sus évoquée a été abrogée par la n°2004/18 du 22 juillet 2004 fixant les règles applicables aux communes qui prévoit : «sont abrogées les dispositions des lois n°74/23 du 5 décembre 1974 et n°87/015 du 15 juillet 1987 portant respectivement organisation communale, ensemble ses modificatifs subséquents, et création des communautés urbaines».
Pour Me René Manfo et l'ensemble du collège des avocats, «les articles que le juge cite pour condamner Paul Eric Kingue n'ont rien à voir avec les arguments développés car ces articles parlent plutôt des syndicats des communes sans aucun lien avec l'acceptation du don reçu de la SPM». Pour le juge Ntyame Ntyame, l'ancien maire n'aurait pas dû accepter le don d'une adduction d'eau à Njompe-Penja sans l'autorisation préalable du conseil municipal.
De son côté, l'ancien maire dit avoir agi sur la base de la Loi n°2004/17 du 22 juillet 2004 portant orientation de la décentralisation. Il cite notamment le chapitre 2, section 3 des dons et legs aux collectivités territoriales de ladite loi qui énonce en son article 41 alinéa 1 : «l'exécutif communal ou régional peut, à titre conservatoire, accepter les dons et legs et formés avant l'autorisation, toute demande en délivrance». Et l'alinéa 2 de préciser : «La délibération du conseil qui interviendra ultérieurement a effet à compter du jour de cette acceptation.»
Aussi, les avocats de Paul Eric Kingue trouvent-ils bouleversant le fait que, «voulant se fonder sur le décret n°77/91 du 25 mars 1977, le juge Michel Ntyame Ntyame a ajouté à ce décret abrogé des articles qui n'existent pas». Selon ces derniers, le décret auquel il est fait allusion ici ne comporte que 92 articles. Or, pour condamner Paul Eric Kingue, le juge a cité l'article 144.
On se souvient que quelques heures après le verdict du tribunal condamnant à vie Paul Eric Kingue, son conseil Me René Manfo avait qualifié cette décision de «blague de mauvais goût». Pour le collège d'avocats de l'ancien maire de Njompe-Penja, les «droits de l'accusé ont été vertement préjudiciés aussi bien à l'information judiciaire que devant la juridiction de jugement». Ils soutiennent que l'accusé n'a jamais été cité à venir comparaître des faits qui lui sont reprochés devant le juge d'instruction. D'où leur décision de faire appel de la sentence du TGI du Moungo.
© journallactu.com : Bertille Missi Bikoun

Violence Erupts on UB Camppus over Start of Examination.
By Solomon Amabo



At least a University of Buea student has been wounded following violence wchich erupted on the Molyko Campus Monday.The violence broke out at the Class room block(one of the lecture halls) where security gurads clahsed with members of the University of Buea Students Union.

The security guards made a failed attempt at preventing the irate students form halting the examinatioons which the Vice Chancellor Prof Vincent Titanji had anounced would start Monday morning, amid tension between the UB administration and the Buea Chapter of the lecturers trade Union, SYNES.
The students according to concordent reports want the government to address the problems raised by their lecturers. Cameroon postline learnt from relaible soucres that after the crisis meeting between the Universtity Committee of Deans and directors which ended in a deadluck, SYnes members on Friday held an emergency extraordinary meeting and resolved that they would call off their strike action on Monday, while examinations for the First semester were to begin Tuesday.

The decision to suspend the strike action follows plans by the Minister of Hiher Education to grant audience to the UB lecturers Tuesday , Cameroon postline was told by a source from the Central Administration.
In the wake of waiting to be granted audience , the Vice Chancellor of the University of Buea reportedly insisted that Examination begin Monday.

And so when some student began writing the examinations under the supervision of some lecturers other students said it was some sort of betrayal and decided that the examinations be brought to a halt.
In the standoff, one student was reportly wounded while others sustained bruises in the stampede that ensured.
The Ub students then convereged on the open amphitheatre, demanding that the adminsitration and Synes officials addresses them.

They later moved to the Central administration where the used stoned to destroy some windows.
At the time of filing in this post, the UB administrators and other staff were hostage at the Central administration.

Solomon Amabo A.
Journalist,